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1. RECONNAÎTRE OFFICIELLEMENT LA SENSIBILITÉ DES ANIMAUX SAUVAGES

Les animaux sauvages ressentent la douleur de la même façon que les autres animaux. Ils ont une vie familiale, sociétale. Ils ont droit à notre respect.

2. DÉCIDER QUE SEULS DES PROFESSIONNELS PEUVENT RÉGULER LA FAUNE SAUVAGE

Il est de notre dignité de ne pas tirer sur des animaux pour l’amusement.

Ce sont des êtres vivants.

3. INTERDIRE LA COMMERCIALISATION ET L’UTILISATION DE PIÈGES MUTILANTS AINSI QUE DES PRODUITS TOXIQUES

Quel que soit le type de pièges et de produits, ils doivent être tous interdits.

Un certain nombre de produits très dangereux, voire mortels, sont encore en vente libre. Cela permet bien des abus … Il est logique de demander leur interdiction, tant pour les animaux que pour les humains.

4. SUPPRIMER LE PRINCIPE D’« ANIMAUX NUISIBLES »

Chaque année, l’État, par le biais des préfectures, fixe la liste des animaux nuisibles, chassables toute l’année. Il serait bon de se souvenir que grâce aux renards, par exemple, la population des petits rongeurs des champs est régulée que, grâce aux renards, nous sommes moins atteints par une maladie redoutable : la maladie de Lyme. Cette liste des animaux nuisibles est très relative et mériterait d’être remise en question avec un point de vue professionnel.

 

5. RENDRE OBLIGATOIRE LA POSE D’UNE GRILLE À L’ENTRÉE DE CHAQUE CONDUIT DE CHEMINÉE QUAND CELUI-CI EST « OUVERT »

Des oiseaux restent bloqués dans des conduits de cheminée et y meurent lentement d’inanition. En effet, ils ne peuvent plus voler pour s’échapper, les bords trop étroits du conduit les empêchent d’utiliser leurs ailes. Cette mort lente pourrait être facilement évitée en plaçant un grillage à l’entrée du conduit.

6. RENFORCER LES SANCTIONS CONTRE LE BRACONNAGE

La réglementation existe pour dissuader les contrevenants mais ceux-ci sont très habiles pour

ne pas se faire prendre. Aussi, lorsque les policiers de l’Office Français de la Biodiversité réussissent à les prendre en flagrant délit, les sanctions devraient être exemplaires.

Interdire les silencieux sur les fusils qui mettent en danger les promeneurs et ne permettent pas à la police de l’environnement de lutter contre le braconnage.

 

 

7. ÉTABLIR UNE COOPÉRATION ENTRE LE FUTUR OFFICE FRANÇAIS DE LA CONDITION ANIMALE ET L’OFFICE FRANÇAIS DE LA BIODIVERSITÉ

Un exemple tout simple : un animal de compagnie abandonné relève logiquement de la police de l’OFFICE FRANÇAIS DE LA CONDITION ANIMALE mais il a de fortes chances d’être retrouvé par la police de L’OFFICE FRANÇAIS DE LA BIODIVERSITÉ, en contact permanent avec la faune sauvage.

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